Extrait du journal

Parmi les crimes dont la littérature, au cours des siècles, s’est rendue coupable, il n’en est assurément pas de pire que celui de la destruction de cet admirable spécimen de l’architecture contextuelle du ive" siècle que constituait — que constitue heureusement encore — la prison Saint-Lazare. Oui, ce sont ces écrivains qui, de Maxime du Camp à Francis Carco, n’ont cessé de nous répéter : « SaintLazare tombe en ruines » « Saint-Lazare est une honte », ce sont eux qui portent le poids du vandalisme ordonné par le Conseil Général de la Seine!...