Extrait du journal

eurent-ils, les vieux clercs rompus aux affaires, depuis longtemps au service d’une étude, et qui la font marcher, magnent 500 francs par mois. Ce sont là les « boyards » de la profession. Les « petits clercs u — et nous ne parlons pus des saute-ruisseau, mais de jeunes hommes qui font à l’élude un travail véritable, — doivent trop souvent encore se contenter de leurs 200 francs mensuels. Comment diable ! voulez vous vivre avec dix louis, quand le billet de cinq francs vaut ce que valait autrefois — (et encore !) — la pièce de quarante sous. — Mais personne ne s’est-il inquiété...