Extrait du journal

JANVIER 1950 Bonne année pour vous...— LE DROIT DE VIVRE ne pouvait pas finir l’année sans reparaître. D’aucuns l’avaient cru mort et s’en réjouissaient. Ils se sont réjouis trop vite. LE DROIT DE VIVRE a, presque, surmonté la crise qui faillit l’abattre. Doit-il s’excuser auprès de ses abonnés, et de ses lecteurs, d’avoir préféré cinq mois de silence à la perte de son indépendance ? LE DROIT DE VIVRE reprend sa place dans le combat pour la liberté. Ce qu’il défend vous est cher. Son programme est le vôtre. Jamais autant que main tenant nous n’avons eu besoin de nous regrouper, et il est important de voir clair, de savoir où l’on veut (et où l’on ne veut pas) aller. ► LE DROIT DE VIVRE reparaît pour dire certaines choses qui ne sont pas dites ailleurs, pour mettre les points, sur les i, pour faire sonner haut et clair la parole antiraciste. En toute liberté. I ...et pour le droit de vivre...