Extrait du journal

En fait, M. Benès a retardé une nouvelle fois la communication radiodiffusée qu’il devait faire au peuple tchécoslovaque et ce n’est que par l’agence officielle tchécoslovaque contrôlée — comme tous les organes d’information depuis 24 heures, par le parti communiste — que l’on a eu connaissance de sa décision. Ainsi M. Benès laisse entendre,, par son silence, que la solution qu’il a donnée à la crise n’a pas son approbation totale, mis qu’il lui était impossible d’en trouver une autre....