Extrait du journal

LES syndicats se trouveront seuls, sans interlocuteur, à l’échéance du 1er septembre. C’est là une conséquence grave de cette crise ministérielle éclatant à la veille de revendications sociales qui risquent de, s’accroître rapidement si les mesures indispensables ne sont pas prises. Nous avons donc demandé aux représentants des quatre grandes centrales syndicales de nous faire connaître leurs premières réactions devant la crise. Seule la C.G.C., dont le Comité directeur se réunit lundi, n’a pu nous préciser exactement sa position....