Extrait du journal

« m'as-tu-vu ». Des guignols qui passent leur existence à « paraître», à prononcer des paroles qu'ils ne pensent pas et à répandre d'hypocrites vantardises, affrontent le ridicule de te surnommer « cabot» ou « histrion »). Mais ta vengeance est magnanime et maligne tout ensemble, puisque tous ces benêts et toutes ces linottes pleurent leurs plus pures larmes devant les douleurs que tu leur imposes, et secouent de sain dre' leur fière carcasse devant le comique que tu leur dispenses. Tu leur réapprends à rire et à pleurer, et; égoïstes et neutres, ce n'est qu'en face de toi et grâce à toi seul, qu'ils pleurent sur les douleurs des autres, et qu'ils se réjouissent de lia joie d'autrui....