Extrait du journal

si on ne le mettait au compte d'un pauvre bourgeois de greffier. Une maison tout de suite, une dotation plus tard, des gouverneurs de marque, plus tard une grasse abbaye, ou quelque régiment, ou un évêché, des châteaux, des terres, des sommes. Brèche à notre apanage! Saignée à la fortune patrimoniale! C'est payer trop cher la joie d'être père. Et l'on dit au pauvre greffier: « A vous, monsieur, à vous, l'enfant, nous l'avons fait, nourrissez-le!. » Monseigneur, il y a trop longtemps que les princes, et les ducs, et tous les nobles, et leurs suppôts, font des enfants à nos filles et nous les donnent à élever. Il est temps que cela finisse. Gardez votre sang, nous gardons nos sous....