Extrait du journal

Ma tante me conduisit directement au coche d'eau et j'arrivai! à Amsterdam avant midi. En débarquait, j'eus la sensation de laisser derrière moi un trésor, qui m'avait un moment appartenu et qu'on me ravissait à jamais. Qu'était le château de la Belle au bois donnant, qu'était l'équipage de Cendriillon auprès de ces champs pourpres, rouges, lilas, or et vermeil! On ne parlait pas de parfum dans ces contes. Y avait-il un bonheur sans parfum? Depuis que j'avais été imprégnée de cet arôme, que nuit et jour j'en avais été escortée dans tous mes faits et gestes, je le voulais ardemment, je haletais après lui, et je me rendis Compte qûê';'S'âns.'lùi, je n'ailais plus rien...