Extrait du journal

Nous nous mourons actuellement de spécialisation, C'est à peine si nos geôliers nous laissent, de temps à autre, faire quelques pas dans le préau des idées générées, et voici que l'on nous propose une école de la critiaue. Mais cette école, elle existe c'est la vie telle qu'elle est, la vie large, imprévue, fantastique, à laquelle nous devons comparer, coûte que coûte, les petites inventions de nos dramaturges.- Une école de la critique ? Mais pourquoi pas une Classe de faits divers, un Amphithéâtre de nouvelles à la main ? C'est justement parce que notre critique actuelle tient compte trop souvent des idées du moment, des goûts de chacun, de la vie même de l'auteur, qu'elle s'égare et manque d'ampleur. Nous déclarons volontiers que le troisième acte est intéressant parce que le dramaturge aime bien sa mère et que ce troisième acte lui plut. Nous disons du mal de la première scène parce que l'an dernier, d après le catalogue de la production dramatique, nous constatons que l'on a dit du mal d'une scène analogue. Nous nous acheminons ainsi vers la construction de toutes petites chapelles faites au goût du iaar, d'un tout petit théâtre —QuotidietHr-4& 4&ut4$ petites pièces fournies par nos couturiers en vogue....