Extrait du journal

Pour Verlaine aussi, Maurras paraîtra bien dur. Son article : « Qui sera prince des poètes? » parut dans La Plume en juillet 1896. En le reproduisant dans ce volume, Maurras l'accompagne de ta note suivante : « Il est à peine utile de signaler dans les pages qui suivent le parti pris ardent cache sous le ton doucereux et la fausse'modération du langage, » Lisons maintenant ce qui est dit de Verlaine : « Il a perdu la langue, abîmé le style, et réduit à rien la pensée. » C'est ce que Maurras appelle aujourd'hui « ton doucereux » et « modération de langage »....