Extrait du journal

■ Je tenais grand compte des principes monarchiques et de liberté de 89 ; je les ai toujours professés; sans avoir approuvé tous les actes ni les principes révolutionnaires qui ont suivi la déclaration de nullité des cahiers des Etats, sans avoir accepté les actes ni les principes de 1830, ni tous ceux de 1848, je ne me dissimulais pas les profondes racines que ces différentes révolutions avaient jetées dans mon pays ; j'étais fermement convaincu que la monarchie ne pouvait revenir en France que par la volonté nationale, librement exprimée, ce qui mettait d'accord tous les partis, en réunissant au principe de la légitimité celui delà souveraineté nationale....