Extrait du journal

Deuxième Partie. 4 e* Volume. V. DORS. Ah ! comtesse, continua le prince avec son sourire glacé, il faut avouer que l'amour est une chose bizarre et que, par scs sentiers rocailleux ou fleuris, il *e trouve parfois de naïfs innocents qui vont chercher bien loin ce qui les effleure au passage sans qu'ils y prennent garde. Il y a quelque part un jeune homme dont le cœur, le corps et l'esprit sont vierges, un jeune homme, un enfant que le soleil de llnde a couvé de son plus ardent rayon, — dont les rives sont emplis de femmes, la veille emplie de rêves, un jeune homme qui regarde souvent les étoiles et leur demande dans son pittoresque et poétique langage si une femme l'aimera..,. Eli bien ! une femme l'aime, celle femme frémit à souffle , tressaille i son geste, s’enivre à sa voix, celte femme a pour lui toutes prêles d’adorables tendresses et d’enivrants sourires, — celte femme est la plus séduisante de toutes peut-êtrec'est ta beaütc de trente aus dans tout son idéal, la beauté dans toute sa sève de luxuriante maturité, — l’esprit incarné cemmecn vain le rêvent les bas-bleus, lé sourire fait femme comme le rêvent les poètes... Eli bien, cette , Voir les K° depuis le 4 Février....