Extrait du journal

Le « sacré » contrat De foyer, il n'en .t plus. I n Algérie sont restés la femme et le- enfants. Il- attendent un peu d'argent pour vivre. Ils attendent U bateau qui ramènera le | ère lorsqu'il aura obtenu un congé. Et le père reviendra, content de revoir les siens, mutent de respirer lus odeurs plus lourdes de la campagne de son pays, des odeurs qui ne brûlent pas lus p .limons, content de sentir. i lie/ lui, non pas l'affreuse odeur inhumaine dus lampes et des baraquements, mais la honni senteur chaude du I lin lu •l'olive ut dus trois ou quatre :;a taux au inter qui l'.ucueilleront, k Puis, I retiendra en France, con■ t»N| (SUITE EN PAGE 4)...