— Nous avons, nous dit-il, beaucoup regretté qu'un assassinat aussil odieux ait été commis sur notre territoire, et, spontanément, nous avons exprimé ces regrets au gouverne6 ment de l'Union dès- républiques socialistcs soviétiques. Mais l'attentât commis par un sujet russe contre un représentant russe ne saurait impliquer, pour nous, aucune responsabilisé. Nous avions offert à M. VoïRon' une garde particulière, qu'il avait refusée, comme il refusa toujours- de nous informer de ses dé-. placements, attitude qui rendait impossible toute surveillance préventive....