Extrait du journal

Aux paroles de l'auteur du Roi David, sérieuses, pesées, méditées, qui surgissent tout drpit du plus profond de la vie intérieure, quel souffle d'air pur, quelle odeur de terre et d'herbe lavées par les pluies d'hiver, quelles courses échevelées, quels athlètes aux muscles tendus dans l'effort, quelles clameurs de foule pénètrent dans ce petit et tiède cabinet de travail, et - repoussent ,à l'arrière-plan le portrait de Gabriel Fauré, les innombrables partitions, les séries d'épreuves à corriger, la physionomie même du .jeune maître...