Extrait du journal

Connaîtrons-nous demain une production boiteuse et ralentie ? Serons-nous contraints, comme ce fut déjà le cas dans le passé, d'envisager « une répartition du travail existant », fût-ce au détriment de la production nationale ? Ou bien voudra-t-on comprendre, dans les sphères responsables, celles du patronat et celles des Pouvoirs publics, que la solution est autre ? Que la surproduction n’existe pas, qu'elle re peut exister — sinon parce que la consommation est bridée, faute pour les catégories déshéritées de suffisants moyens d'achat ?...