Extrait du journal

LYON, 30 septembre. (De notre corr. part., par téléphone.) — L’attention de deux garde# cyclistes se promenant hier après-midi sur le plateau du fort SaintIrénée, à travers les anciens bastions actuellement désaffectés, fut attirée par une nuée de mouches, massées à l’entrée d'un abri souterrain dont ta porte était fermée. Après avoir forcé l’entrée, en bas d’un petit escalier, les gardes découvraient, dans une vieille bassine rouillée et percée, une tête humaine décharnée. Non loin de là, dans un tas de vieux journaux, un tronc à demi calciné....