Extrait du journal

Mikolajzcyk et Stanczyk étaient partis de Londres, persuadés que ! chacun des trois groupes polonais convoqués à Moscou n’aurait guère de liberté dé communiquer avec les deux autres, en dehors des séances, qu’il serait plus ou ricins claquemuré. De cette appréhension, ii ne reste lien. Tous frayent ensemble et font bonne chère. Certes, il n’est pas probable que les deux « Londoniens » aient, avec le chef du gouvernement de Varsovie et ses trois collègues, les mêmes relations cordiales qu’avec les « professeurs » ; en tout cas, ils croient que tout finira dans l’harmonie. Est-ce qu’ils cèdent à l’illusion ? Est-ce qu’ils dé-...