Extrait du journal

en avion et je ne suis pas à la fin. Ce sont les temps modernes qui m’entrent dans la peau. Pour aller d’une usine à l’autre, d’un laboratoire à l’autre, d’un lieu d’avenir à un avant-ports, j’ai pris l’avion. J’ai toujours ma valise de toile dans la soute à bagages et ma machine à écrire à la main. Comme moi, il y en a 20.000 qui, chaque nuit, dorment dans les airs et vont le jour à des rendez-vous d’affaires à même le sol. Mon affaire à moi, c’est d’observer leurs machines à fabriquer les temps nouveaux et à lire dans les lignes de la main de leurs robots....