Extrait du journal

Commune. Je ne puis me décider à quitterVenise sans vous dire entore quelques mots de la vie qu’on y mène et de la royale hospitalité qu’y reçoivent tous les Français. Malgré les fatigues et les rigueurs d un voyage de 3 à 400 Iieues en cette saison, un très grand nombre de mes compatriotes se sont rendus ici de tous les points de la France. Le Midi surtout a donné : c’était son tour. Venise a été sa revanche de Wiesbaden.Ilya même de belles parisiennes qui n’ont pas craint de quitter l’atmosphère embaumée des salons de la capitale pour œs neiges du Monl-Cenis et l’air glacial des lagunes. Tout cela prouve une recrudescence de foi et d’espoir qui ne laisse pas que d’être significative dans ce temps de doute et de désenchantement universel....