Extrait du journal

,Marianne, Marianne, tu t'obstines à chausser l'un de tes pieds du brodequin de Louis XIV et l'autre de la botte de Napoléon. Après cela, étonne-toi de claudiquer un ,peu sur le chemin du iprogrès. Qu'un roi nourrisse dans ses viviers des poissons pour sa table ; qu'il garde dans ses parcs des cerfs pour ses chasses ; qu'il élève des comédiens pour ses théâtres et des poulettes pour son alcôve, bon ! c'est un homme. IMais toi, Marianne, toi, la sérieuse Marianne' qui .a déjà franchi le cap de la quarantaine, que diable vas-tu faire dans les frivoles coulisses avec ton faisceau de licteur et ta carmagnole ? Est-ce là ta place ?...