Extrait du journal

çaise ! Ne redoutons pas d'être .badauds. Suivons la retraite aux flambeaux. Si nous l'aimons tant, d'un obscur instinct national, ce n'est peut-être pas toujours pour son vain amusement, piuéril et grandiose. Ses pas redoublés font résonner confusément en nous des échos d'histoire. Ses lueurs sont "bleues, sont blanches, sont rouges, au hasard du vent qui les mêle, et il faut peu d'imagmaïkm pour évoquer la vision dans la nu.it d'un drapeon enflammé. Suivons la retraite aux flambeaux. C'est derrière un rêve que nous allons, derrière de la gloire en feux d'artifice....