Extrait du journal

On s'imaginerait donc le prince, à qui l'on va donner de telles fêtes, dans ce décor énehanteur — où toute la grande vie mondiale vient s'épanouir chaque hiver — on se l'imaginerait volontiers comme une personnage de féerie, somptueusement paré de bleu et chamarré de rose, et traversant l'existence dans une rose, e l~ un miisique de rires. Par une de ces ironies où se plaît te Destin, celui qui gouverne ce pays de joie est un sage, et ce sage est un savant, et ce savant est un poète, un poète do,ux et grave, qui demanda à Xa. Mer d'apporter à ses rêves la sérénité des vastes horizons, derrière lesquels disparaissent toutes les mesquineries et toutes les bassesses de la société....