Extrait du journal

Devant ce cruel état de choses, qui 'donc oserait dénier à la Turquie le droit d'intervenir, tant qu'elle le pourra, pour assurer la protection de ses nationaux ? Son honneur et son devoir l'y obligent partout où des sujets ottomar.:, sont injustement opprimés, et surtout dans ces pays qui, naguère, faisaiert partie intégrante de l'Empire. Il n'est pas de traité, il n'est pas de défense eu, iropéenne, qui puisse empêcher un Etajj 'de secourir ses nationaux, quand même il y devrait perdre ses dernières ressources et ses derniers soldats. Est-ce que l'Europe serait disposée à prendre, à son compte devant l'histoire la responsabilité de tant de sang innocent .versé par les Bulgares en Thrace et en Macédoine ?...