Extrait du journal

étaient la chair vive, comme un cortège voilé, comme les lares gémissants, accompagnant en qui sait quels exils leur père spirituel exproprié de la demeure enchantée où il reposait en son essence immortelle. La Mort alors entrera définitive, plénièremeut régnera sous les plafonds naguère frémissants des idéales musiques, peuplés de fantômes, charmants et mélancoliques. Il n'y aura plus qu'elle pour ouvrir au passant égaré par le renom de cette maison illustre et déchue, et elle tirera de son trousseau la clef rouillée de l'oubli....