Extrait du journal

gnons, battre bois et plaine, satisfaisant à mon goût de la chasse, ce plaisir singulier, quand on y réfléchit et qui serait inexplicable sans le mystérieux phénomène de l'atavisme. Plaisir assez coûteux, fatiguant, avec une pointe de cruauté, mais exquis quand on y a mordu. Seulement, nous avions compté sans le temps et, le fusil au râtelier, devant le grand feu de la ferme où les chiens font fumer leur poil humide, je goûte ce grand repos de la solitude, auquel le jour de fête ajoute de l'ennui ou de la mélancolie....