Extrait du journal

viens pas de souscription, et notre seul désir est, nous vous l'avons répété, d'inten sifier notre action et notre rayonnement. Il faut donc que vous nous envoyiez des noms. Entendons-nous, ma chère Angèle. Il ne s'agit pas de puiser sur votre carnet d'adresses, pêle-mêle, les noms de vos beaux amis Front populaire et de vos fournisseurs, et de nous adresser tout cela sans discerne ment. Cela serait à peu près aussi utile pour nous que de recopier dans I' « Annuaire du téléphone » les trente-deux Durand et les sept cents Lévy. Ce que nous vous deman dons est à la fois plus simple et plus intelli gent, et c'est pour cela que vous n'aurez aucune difficulté à le faire. Nous vous demandons, ainsi qu'à TOUS NOS ABONNES (et â nos lecteurs aussi, cela va sans dire), nous vous demandons de choisir parmi vos relations TROIS PER SONNES dont vous savez qu'elles ne lisent pas JE SUIS PARTOUT, mais qu'elles sont capables de s’y plaire, soit parce qu'elles en partagent les opinions, soit parce qu'elles ont du goût, de la curiosité, et qu'elles sont capables de s'intéresser à un effort comme le nôtre et à la somme de renseignements énorme qu'apporte, indépendamment de toute opinion, un seul numéro de JE SUIS PARTOUT. Il faut nous envoyer ces trois noms, et y joindre un carnet de timbres. C'est une manière simple, rapide, et, reconnaissez-le, pas très coûteuse, de nous aider. Si CHAQUE ABONNE (je ne parle même pas des lecteurs) nous envoyait ces trois...