Extrait du journal

« Qu'ils chantent, ils paieront », disait à peu près Mazarin des Français. Depuis la Fronde, le fisc a fait des progrès. Aujour d’hui, les contribuables, écrasés sous des charges qu’ils ne peuvent plus acquitter, n'ont plus le goût des chants, si ce n’est des chants de révolte. Certes, l’irritation contre l’impôt excessif a été de tous les Ages. Sans remonter très loin, Napoléon, qui connais sait les Français aussi bien que Mazarin, disait en substance à la fin du règne, qu'en pouvait plus facilement leur demandée leurs enfants que leur argent. (Lire le suite page 2)...