Extrait du journal

Je disais que je ne prononcerai que quelques paroles, et je m’en excuse. Je ne peux pas, en effet, à quinze jours de distance, refaire le discours que j’ai prononcé à la veille de la rentrée du Parlement. Aussi bien, n’aurais-je rien à ajouter aux paroles que j’ai prononcées à Saint-Calais ; mais ce que je veux constater, ce que j’ai le droit et le devoir de constater, c’est le complet accord qui unit le gouvernement au Comité républicain et à l’ensemble du parti républicain, avec lequel nous vouions gouverner....