Extrait du journal

De 1892 à 1913, le nombre des grèves éclatant dans le commerce et l’industrie, était passé progressivement de 200 à 11000, la loi de 1892 sur la conciliation et l’arbitrage n’ayant donné que des résultats inappréciables et décevants. Ouvriers, employés, l’augmentation du prix de la vie les y incitant, se plaignaient de lent sort et, malgré les nombreuses lois sociales votées par la IIIe République pour leur assurer un peu de « mieuxêtre », réclamaient des augmentations de salaire quand ils ne demandent pas en même temps une diminution de la durée du travail....