Extrait du journal

Nous parlions, en commençant celte chronique, de la misère à St-Denis pour cet hiver. La municipalité ne paraît guère s’en préoccuper, et le bureau de bienfaisance se déclare déjà démuni de fonds suffisants pour faire face aux besoins ordinaires; que sera-ce dans un mois ou deux? 11 a fallu depuis le mois de mai récompenser les services rendus et la danse des bons de pain et de viande a été telle que la disette est aux portes du bureau de bienfaisance. Eh bien ! disent nos administrateurs (?) — Que e Bureau de Bienfaisance aliène son capital; nous verrons bien après....