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Journal de Seine-et-Marne, 13 juillet 1867

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Journal de Seine-et-Marne
13 juillet 1867


Extrait du journal

Je vis là pour la première fois ses fils deux beaux jeunes gens, le second surtout, qui portail carrément sa haute stature el sa brillante épaulette de carabinier. Lorsque M. Itoubiais fit sou entrée, je me dirigeai instinctivement vers lui. — Vous triomphez, me dit-il à voix basse. Cécile dé fend vivement sou fiancé. Elle soutient en outre qu’il est trop tard pour rompre sans motif l’alliance à laquelle, j’ai des raisons pour le croire, elle n’eut pas acquiescé faci lement, si j’avais pu lui faire entendre plus loties conseils de ma vieille amitié. Cependant ma chère filleule doit être le jouet de quelque erreur préméditée, car elle prétend que M. de Marteviile n’a que 38 ans. — Il m’en a avoué quarante. — Ajoutez y ce qu’il n’a pas avoué, et la somme sera ronde. Au surplus, la lumière va se produire sur cette...

À propos

Fondé en 1833 sous le nom Journal du commerce de l’arrondissement de Meaux, cet hebdomadaire républicain et conservateur devient le Journal de Meaux après seize numéros. Il prend finalement le nom de Journal de Seine-et-Marne en 1838 avant de disparaître cent ans plus tard, en 1939.

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