Extrait du journal

le droit d'intervenir aujourd'hui dans les affaires intérieures de l'empire ottoman plus qu'elle n'avait celui d'intervenir à Naples en 1856. La situation diplomatique est la même ; l'intérêt seul de quelques puissances est différent.' La preuve en est dans l'article 9 du traité de Paris, dont voici le texte : ; , « S. M. I. le Sultan, dans sa constante sol licitude pour le bien-être de ses sujets, ayant octroyé un firman..., etc. » Les puissances contractantes constatent la haute valeur de cette communication. Il est bien entendu qu'elle ne saurait en aucun cas donner le droit auxdites puissances de s'im miscer soit collectivement, soit séparément, dans les rapports de S. M. le Sultan avec ses sujets, ni dans l'administration intérieure de son empire. » Cet article nous a paru non moins en situation et aussi digne d'être rappelé que l'ancienne circulaire du prince Gortcha koff.'.' rer-y* ...