Extrait du journal

• De toutes parts, en France, la charité privée se réveille, et nous aimons à espérer que, nous autres Anglais, nous ne perdrons pas de temps pour apporter notre concours à cette bonne œuvre. Après l'inondation de 1850, c’est le conseil municipal de Londres qui, le premier, a fuit appel au dévouement des Anglais, et il conviendrait assurément à un lord-maire qui, tout récemment, a trouvé un accueil si sympathique en France, de suivre un si louable exemple. Depuis dixneuf ans, les liens qui nous unissent à nos voisins d’outre-Manche se sont singulièrement resserrés, et notre intérêt aussi bien que nos sentiments nous commandent de prêter notre aide promptement et généreusement. Four ce faire, la nation n’attend qu’un u*|>el de la part de ceux qui la dirigent, et il enta souhaitirque cet appel ne se lasse pas attendre. »...