Extrait du journal

dissent, devient un champ clos, où les néo-ré. publicains russes effarés et les 300.000 prisonniers austro-boches, pourvus maintenant de leurs armes et do leur liberté, entrent dans un conflit violent dont l’issue n'est pas douteuse, si les adversaires sont hissés à leurs propres forces. t * j1?0?8 savons bien, nous, Japonais, eue les déclarations de sir Balfour nous donnent toute assurance pour l’avenir; mais les parôles les plus réconfortantes des ministres ont, pour être autre chose et mieux que des paroles, besoin de la confirmation du canon. Certes, nous ne craignons pas l'absorption définitive de ces immenses terre syriennes et russes par la fringale démesurée de nos ennemis; mais si le transnsi, bénin, qui n’est plus à personne, tombe momentanément au pouvoir des Allemands, noua aurons des rotas sur les terres coréenne» qui sont nôtres, nous en aurons aux rivage» des mers japonaises, en face de nos porta et de nos arsenaux. Cela, uni Japonais jamais ne le souffrira. En outre, nous sommes char-...