Extrait du journal

< Je ne veux pas, a déclaré M. Btiand. «avoir l’air de limiter le champ de la G>nférence actuelle, de lui intimer que certaines questions ne doivent pas être posées. Mai» affirme qu’une France forte est indispensable au désarmement moral de 1 Allemagne et au repos de f Europe. Si les débats de cette assemblée prenaient une telle tournure que la France >ût être montrée du doigt comme constituant une exception dangereuse à la règle générale- comme faisant obstacle au désarmement universel ?t à la paix définitive, un coup terrible nous serait porté. Vous enregistrerez nos raisons et vous reconnaîtrez que. dans les circonstances présentes la France ne peut faire autre chose que ce quelle a fait. »...