Extrait du journal

« Pins de cinq ans se sont écoulés depuis que Louis-Philippe est parvenu au trône de France, et pendant cet intervalle, celui qui croyait aux prophéties des factions et adoptait avec confiance les vues politiques des caristes et des républicains, s'attendait chaque jour à la chute de la nouvelle dynastie. Un trône sorti d’une révolution ne peut rétablir l’ordre, disaient les caristes. La France veut la liberté et repousse la monarchie, disaient les républicains; et les deux partis extrêmes s’écriaient d’un concert: cet létal de choses ne peut I durer; et l’on entendait leurs insensés pactisant réI péter après eux que coite situation ne pouvait duI n i . Si par hasard la posée se trouvait arrêtée , Paris | était en flammes ; si elle n’arrivait pas , une révolu| lion venait d’éclater en France. Comment douter I d tia lait soutenu par les meneurs qui dirigent la...