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Journal du commerce, 17 octobre 1825

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Journal du commerce
17 octobre 1825


Extrait du journal

— Le AVer fait, à ce sujet, les refluions suivantes : ™ Il est impossible de se livrer à l’examen des progrès du revenu del’état , sans éprouver un sentiment d'étonnement et de joie. II parait , d’après la note ci dessus , nue , depuis 1820 , il a été révoqué pour la somme énorme de dix mil lions de taxes doute les deux tiers tombent sous les chapitres des douanes et de l’excise ; mais je produit insultant de ces deux grandes sources de revenu , loin de diminuer pro optionnellement à qnc réduction si importante dans la quotité des droits , a , au contraire , essentiellement augmenté. On n’aurait pu arriver à cet état de choses , «'il n’avait pas existé une amélioration immense dans le sort des classes in industrieuses , et une extension prodigieuse dense commerce et les manufacture*. Il est évidemment démontre que, dans les cinq dernières années, les productions de l'industrie nationale se sont accrues dans la proportion de quatre à cinq, et il semblerait que cet effet satisfaisant n’est pas moins dû à la révocation libérale des anciennes restrictions sur notre commerce avec les étrangers, qu’à l'allégement du fardeau des impôt». . ,...

À propos

Fondé en 1795 et dirigé par Jean-Antoine-Guillaume Bailleul, le Journal du commerce est un quotidien d’actualité économique et politique. Constamment poursuivi et condamné pour une succession d’articles d’esprit anti-chrétien ou antimonarchique, le journal devient peu après sa création un des plus importants journaux parisiens.

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Données de classification
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