Extrait du journal

pique M. r hier s; à M. 'hlilon Barrot ? il leur a fallu d’abord esquiver les questions préjudicielles que les orateurs de l’opposition avaient soulevées. Ainsi M XI. les ministres n’ont trouvé rien à dire touchant la répudiation de créances fondées sur i oppression du pays et sur la victoire de Waterloo; la France actuelle date de mort non de t8i j ; les dettes qu’on lui réclame ne lui ont été d ailleurs imposées que par la foi ce , elle a dès-lors le digit de s'y soustraire ; car c’est une créance illégitime et non obligatoire que celle qu on signe quand on a le pied tut la gorge. A ah e question préjudicielle que MM. les ministres ont également passée sous silence, et sans doute avec hume intention : en admettant mettant que les If ailés invoqués pun^ul donner lieu jaune repé;rtimi-contre nous, nous devons également exiger que notre créancier se trouve dans une position identique à celle que les traités stipulaient à «on égard. Or, ou est cette Pologne, confiée à Ir. protection de la Russie , a la condition toutefois qu’elle formerait un royaume indépendant , soumis à des lois différentes, et conservant en quelque soi le une nationalité à paît? La Pologne des traités île 18# j et i1 i j «l’existe plus ; c’est une province russe qui ! a remplacée; dès-lors notre créaucici n’avant plus d’existence fini bleu, c tant mime pour ainsi dire mort civilement et sans heritien» légitimés, nous ne pouvons le payer aujourd'hui ; qu'on non - rende d abord la Pologne des traites, et nous verrons ensuite si nom lui devons. Ainsi donc, d'un coté , le sort du débiteur est ‘ -1 *»»g« • puisque d’opprimé qu'il était jadis, il est revenu a l’état de bbt iie Le sort du créancier n'a pas, d’un autre côté, subi une modification moins remarquable, puisque, de libre qu’il était jadis, ,| a pas é, au contraire, À 1 état d’esclave russe. Par ce double motif, la position de I un et de l’autre impliquant la violation des trains dont on argumenté, il y s. lieu à une suspension et de argot mations ci de p u ment. b es oit purs de l'opposition n’ont pas manqué, comme on pent-...