Extrait du journal

A gang , j avouerai que M. de Frenilly est celui de leurs écrivant que je préfère. Celui-là. Ju moins est liane dans fou allure, avec lui ou sait sur quoi compter ; il ne marchande pas et va droit a sou but. Seul parmi ses munies, il est de l’école de MonUiignc , et avec lui les mois v•«/.■/ ou va la pensée. quant aux autres , iis ne sont sincères que sut la II aine qu’ris portent aux sommeils biaisent sur les principes; heureusement ou les devine ; ils suppléent a la puissance d exécution qui leur manque, parce qu’ils appellent la puissance de leurs conceptions : au pelant de mieux leur vanité prend soin de nous révéler leurs espérances. La crainte qu’ils se lia lient du nous inspirer les tient eu haleine et les empoche de déj ses périr de 1 avenir ; elle chatouille leur amour-propre ; elle les dédouci igc de 1 impuissance de rien oser. V tout prendre , leurs écrits nous préviennent de leurs intentions ; ce qui ne laisse pas d’avoir son utilité, bien que nous sachions que ce n’est pas de ce qu ils nous disent, mais de ce qu’ils nous taisent, qu’il faut surtout se défier. . U uu autre cote je suis ami de la paix; en lisant le Conservateur J a* toujours 1 espoir de le voir descendre uu peu des sommités de 1 aristocratie dans les piailles de la liberté constitutionnelle, et adopter des principes qui ne rendent pas les rapprochumcns impossibles. Cette proposition n est pas aussi téméraire qu’ou serait tenté de le croire. Le Conservateur n idem j^au tribunal de la pénitence, il accueille tous les pécheurs couvrais. Ou voit figurer dans ses fastes plusieurs couvains qui n’ont pas été invariables dans leurs opinions. Leurs doctrines

À propos

Le Journal général de France est une publication monarchiste paraissant quotidiennement entre septembre 1814 et mars 1819. Sa déclaration d’intentions souligne son souhait de présenter « le pour et le contre sur chaque question d’intérêt public ». En plus de son slogan « vérité impartialité », il adopte le sous-titre « politique, littéraire et militaire » à partir du 7 décembre 1818.

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