Extrait du journal

Les journaux ministériels cherchent naturellement à faire sonner très liant les prétentions de sir Murray Maxwell et à inspirer de la confiance à ses amis ; mais il est à regretter qu’ils soient dans l’impossibilité de remplir cette tâche sans insulter ses rivaux. Le Courier, par exemple, dit qu’on peut juger par la conduite des deux parties de leur caractère j puis avec ses égards accoutumés pour la vérité , il ajoute a que les amis des candidats populaires se conduisent comme des brigands. » Le Courier sait-il qui so ut les a rois des candidats populaires ? Suit-il que ceux qui ont élevé sir Samuel Romilly à la prééminence g incube où il se trouve maintenant au scrutin , sont les hommes les plus respectables de Westminster, des hommes , encan , dont les noms et le caractère sont une réfutation de cette assertion fausse et libérale infiniment meilleure que tous les mots que nous }immigrions employer ! Le Courier doit savoir que l’outrage fait à sir maxwell était l’action d’un individu de la dernière classe du peuple , et que les amis de sir S. Romilly et de sir Francis Burdett la regrettèrent peut-être plus que les sentirons mêmes du brave capitaine. Lu Courier termine son article en observant «pie « des gens comme il faut restent toujours gens comme il faut, même drus les mouvements inséparables d’une élection contestée, » Il n’aurait agi que généreusement et même avec prudence, s’il eût fait tourner cette remarque à son propre avantage. ( British-Prcss. )...