Extrait du journal

les maux inséparables du désordre & de l’anarchie j tous soupiraient après un temps plus tranquille > parce que, prives des avantages du commerce, des agréments ue des utilités de la société civile, livrés aux caprices déréglés de la basse populace , personne n’croit plus en sûreté ni pour sa rie, ni pour ses biens. Les misérables accoutumés à gagner leur pain à la sueur de leur visage, prétendaient à la faveur de la rébellion vivre dans l’oisiveté , se nourrir abondamment de rapines ; enfin , sous ce mot enchanteur de Lbert.ê , le libertinage le plus extrême ayant pris sa place , la plus grande partie de Naples, pareseroit de renoncer aux sujets de mécontentement qu’ils croc oient avoir, plutôt que de les satij>/airç à ce prix....