Extrait du journal

Le marquis de Lansdowne : Quels que soient sur lut nuire point mes principes politiques, je dois déclarer que j’approuve l’union législative. J‘ai examiné né avec réflexion les différons articles de l’union : ceux qui ont rapport au commerce ont fixé plus particulièrement mon attention. Je ne vois pas d’objections sérieuses à faire à ce sujet. Je me crois d’autant plus obligé à prêter mon faible appui à cette mesure , qu’on me voit plus rarement disposé a favoriser les plans des ministres. Je ne vois pas du mime œil toutes les autres mesures des ministres ; elles s°ni de nature à produire les effets les plus funestes. Je les combattrais plus souvent que je 11e le fais, si je n’étais persuadé que les événement parlent assez contr’elles. de suis convaincu que l’apathie du peuple anglais ne peut durer longtemps encore....