Extrait du journal

De M. Jean Philip, sénateur, secrétaire de la Commission des affaires étrangères (Le Capital) : « Il suffit que quelques hommes, tou jours les mêmes, aient mis dans les rouages le petit caillou nécessaire pour que tout le mécanisme soit arrêté. Et les naïfs peuvent ensuite se lamenter tout à leur aise sur le rendement médieere des prestations. Ceux qui savent sourient en se frottant les malus. Une fois de pins, le tour a été joué. > Est-ce à dire qn’il ne faille pas ména ger l'industrie française ? Telle n’a jamais été notre pensée. Cette industrie a droit, au contraire, à un traitement particulier. Et, certes, il y a du travail actuellement pour elle, autant et plus qu’elle ne peut fournir. » Mais elle ne peut tout faire, ni faire très vite tout ce qui précisément a besoin d’être vite f»h. D'ailleurs, les prestations sont là. Et tant qu’elles sont là, le dilemme est celui-ci : ou les absorber ou les mal employer, quand ce n’est pas les laisser perdre, et perdre, avec elles, les milliards qu’elles représentent ! Avant l’intérêt de l'industrie française, il y a tout de même l'intérêt de la France. »...