Extrait du journal

Une des dames — on ne peut pourtant pas dire une dos beautés — du décamcron impérial, Mme la princesse de Metternich, organise à Vienne une exposition dont on s’entretient dans le monde de la scène. Elle réunit — sans doute au bénéfice de quelque œuvre de charité, car elle est ingénieuse à faire le bien, — des accessoires de théâtre: tout ce faux clinquant de la rampe qui sert à la représentation de ce que l’on est convenu d'appeler l’image de la vie, dans le milieu le plus superficiel qui soit....