Extrait du journal

Il parlait encore de temps à autre de l'exécution nécessaire du traité. Il ne contestait pas les obligations de l'envahisseur. Il ergotait seulement sur les capacités de l'Allemagne, à réparer. A vrai dire, sets arguties étaient d'un effet lancinant et énervant. On sentait trop la mauvaise foi cachée sous l'apparente bonne volonté. Nous sommes loin de cela. M. Cuno, l'homme d'affaires des grands industriels, nous fixe en quelques mots : « L'Entente s'est convaincue de l'impossibilité pour l'Allemagne d'exécuter les charges imposées par l'ultimatum de Londres. Nous ferons ce que nous pourrons pour les régions.' dévastées après - que les besoins de l'Allemagne auront été satisfaits. » C'est simple : ces gens soht bien décidés — et ils le disent — à ne jamais nous payer....