Extrait du journal

« Toutes les réformes sont j durement des cours. Le blé de pour les ouvriers de l'Industrie et ! soixante à quatre-vingt francs le du commerce et rien pour les J quintal, paysans, disent-ils. Si on avait j laissé la liberté du commerce, j Ce serait une source de profits ajoutent nos bons apôtres, le blé pour les gros minotiers et les serait à 180 francs le quintal ». j spéculateurs car, au printemps Lorsqu'ils disent cela, ils prend- j suivant, ces derniers pourraient vent les paysans de France pour ; le revendre 180 francs le quintal, des imbéciles, car ces derniers ! Ce serait aussi des plus vantase rappellent d’il n’y a pas long- j yeux pour les hobereaux briards temps, où M. Flandin, qui est un ' et du reste de la France qui auréactionnaire, a rendu la liberté | valent gardé leur blé en meules du commerce au blé ; résultat ? ! ou en silos pour le vendre au moLe cours du quintal de blé, qui s vent de la hausse, était de 115 francs, est tombé à 60 francs. i (Suite nage 3. colonne 4)...