Extrait du journal

Seulement, ce document se composait d’une vingtaine de pages recouvertes d’une écriture serrée, et il était rédigé en polonais. Le président Degouy avoua son impuissance à déchiffrer ce texte. Il ne reste donc plus à MA!. Strakacz et consorts qu’à attendre — une foi* de plus ! — qu’un traducteur-juré donne au testament son interprétation définitive. On ne saurait s’amuser à moins de frai* ! Nous voulons parler du défunt, lequel, de son vivant, dut passer d’agréable* moments en pensant aux tourmente probables de sa « succession »....