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La Caricature , 13 mars 1834

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La Caricature
13 mars 1834


Extrait du journal

ou qu’il n’en a pas donc que sil en a t’une, a ce qu’il dit, essieu d’Argout, qui nous avait promis son estime et des récompenses pour la chose du 23 février, ne devrait pas à présent se faire tirer l’oreille comme il fait : ça 11’est pas délira de sa part. Je ne suie qu’un poire assommeur, c’est vrai pour le tomant, mais il devrait se rappeler que, quai je me suis rengagé a prendre le bâton pour soutenir l’ordre de Chose qui menaçait de dégringoler, je vivais assez t’agréablement de mon petit état de voleur, donc que je travaillais tous les matins de une heure à quatre dans le quarté du Palais-Royial. Tous mes camarades pourront dire que je lésais de 1 fr. 25 à 2 fr. \o c. par jour, et pour lors je n’aurait pas été ass. cornichon (en vous parlant par respect) pour changer ma petite industrie, que je lésais avec deux doigts et le pouce seulement, et sans effort, contre un méfié de chien comme lassommage que jean nai t’encore le bras t’engourdi et le poignet foulé; et ça pour 3 fr., en me fournissant des ustensile nécessaires ; on, sacrifié J jamais aurais consenti a ça , si je m’avais douté qu’on....
La Caricature (1830-1843)

À propos

La Caricature, morale, politique et littéraire, est un hebdomadaire satirique illustré. Fondée par Charles Philipon en 1830, cette feuille fut créée dans le contexte agité de la Révolution de Juillet et s’imposa dès sa création comme une force d’opposition au pouvoir de Louis-Philippe Ier. Un de ses plus grands succès est d’ailleurs « Les Poires », célèbre dessin paru le 24 novembre 1831 et figurant le roi se métamorphosant en poire.

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Données de classification
  • argout
  • d'argout
  • paris