Extrait du journal

Pour la plupart, la maison paternelle, c'est une collectivité de logis divers qu’on a désertés l’un après l’autre, au bout de quelques mois ou de quelques années, selon que 1 exigeaient les occupations du père, l’instruction des enfants, la cherté des loyers, l’accroissement de la famille, le besoin de grand air, de confort, de communications faciles, des ennuis de voisinage. des nécessités d'expropriation. Frères et sœurs n ont pas la même maison natale ; et, plus rares encore, sont ceux qui sent nés sous le même toit que le père ou la mère....